En pleine confiance après un rallye du Portugal très réussi, Thierry Neuville arrive en Sardaigne sur un terrain qui lui a souvent réussi par le passé.
Sur cette épreuve, le pilote belge reste en effet sur trois podiums consécutifs entre 2015 et 2017, dont une victoire en 2016. En 2013 déjà, pour sa deuxième saison complète en WRC, le pilote Hyundai avait décroché son meilleur résultat en championnat du monde (2e) entre les Volkswagen d’Ogier et Latvala.
Cette fois, la tâche du leader du championnat du monde s’annonce plus compliquée avec une position d’ouvreur très pénalisante sur ce terrain.
“Le Portugal a été le week-end parfait pour nous, nous avons marqué 29 points sur un maximum de 30. Nous passons maintenant à la Sardaigne, qui est l’un des événements les plus techniques du calendrier. Les routes sont très étroites et deviennent extrêmement cassantes au deuxième passage. Le niveau de grip est assez élevé dans la deuxième boucle, mais nous manquons souvent d’adhérence lors du premier passage.
Ce sont des conditions délicates, mais les spéciales ont tendance à convenir à mon style de pilotage et à mon rythme. Je suis capable d’être très précis et j’ai réussi à être performant là-bas à plusieurs reprises dans le passé.”
Participations de Thierry Neuville en Sardaigne
- 2017 : 3e (Hyundai NG i20 WRC)
- 2016 : Victoire (Hyundai NG i20 WRC)
- 2015 : 3e (Hyundai i20 WRC)
- 2014 : 16e (Hyundai i20 WRC)
- 2013 : 2e (Ford Fiesta RS WRC)
- 2012 : 18e (Citroën DS3 WRC)
- 2010 (IRC) : 4e (Peugeot 207 S2000)
Avant la Sardaigne, tous les voyants sont au vert pour notre petit belge, c’est LE rallye où il réussit le mieux (c’est impressionnant de voir comment sur ce rallye il fait nettement mieux qu’ailleurs) et là il y arrive en leader du championnat.
Il va devoir ouvrir, une situation un peu nouvelle pour lui et… et, comme d’hab en 2018, tout baigne, au sens propre hein 😉
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Il pleut en sardaigne 😀 😀 😀 mais uniquement en prévision du vendredi, ça sera sec quand il n’ouvrira plus 😉 quand je vous dis que c’est son année.
Le seul à zéro faute jusqu’ici.
Alors, continuer ainsi à faire ce qu’il faut, en gérant à la manière de.
Ça paie !
Le pilote belge le sait très bien et, il ne peut compter que sur lui-même et, son copilote.
Il va galérer à ouvrir mais, son plus proche rival ne sera pas beaucoup mieux loti et le suivant est déjà assez distancé.