Alors que la technologie hybride va débarquer dans un peu plus d’un an dans la catégorie reine, la FIA va également appliquer cette évolution à la catégorie Rally2.
Pour ces voitures moins coûteuses et perfectionnées que les WRC, l’objectif sera de proposer des voitures avec une “technologie hybride légère”, assez minimaliste avec un apport de 10 chevaux supplémentaires grâce à une batterie de 48 volts. Pour ces voitures, la FIA ambitionne une homologation pour 2023. Avec l’ajout de cette technologie, l’ambition est de mieux coller aux nouveaux modèles de série embarquant des blocs hybrides qui se multiplient chez les constructeurs.
La maîtrise des coûts pour le reste des composants des voitures Rally2 continuera d’être la même qu’auparavant, afin de garantir la grande réussite de cette formule depuis de nombreuses années. En effet, de 2013 à 2020, plus de 1000 unités ont été vendues, visibles du plus haut niveau de l’échelle du rallye à la plus basse sur des épreuves régionales.
Désormais, la FIA doit rapidement avancer sur ce projet avec l’objectif de déterminer les règlements techniques pour septembre 2021, afin que les marques existantes et potentiellement nouvelles, puissent réfléchir au développement et à la construction d’une voiture.
C’est vraiment du pur marketing, pour ne pas dire “green washing”, parce que la “microhybridation” ou “mild hybrid” n’est qu’un stop-start amélioré qui n’amène des gains en CO2 qu’en utilisation urbaine. Donc dans le cadre du rallye je ne vois pas trop.
En revanche avec cette batterie on va embarquer des risques d’incendie et de divergence thermique supplémentaires. Est-ce bien nécesssaire?
Coté perfo les ingénieurs sont assez intelligents pour en trouver dans ce systeme, a mon avis principalement dans les phase a tres basse vitesse comme les épingles
il trouve pas que ça coute assez cher comme ça….prèparé votre porte monnaie