Un jour peut-être, Jari-Matti Latvala sera épargné par la malchance, si souvent évoquée lors de sa carrière. Après un Allemagne forcément frustrant, Jari-Matti veut se relancer sur la terre turque, lui qui occupe une très modeste septième place au classement pilotes.
Sur le terrain cassant et sinueux promis en Turquie, la Toyota Yaris WRC ne présente pourtant pas les meilleures garanties, tant la voiture japonaise avait éprouvé de grosses difficultés de refroidissement au Mexique, tant en 2017 qu’en 2018. Depuis, les ingénieurs de l’équipe ont bien travaillé et Jari-Matti se veut confiant en vers sa voiture, notamment au niveau des suspensions.
“C’est la première fois depuis plusieurs années que je me prépare à un tout nouvel événement WRC. Il y a beaucoup d’inconnues: vous devez faire de nouvelles notes, vous ne connaissez pas les caractéristiques des routes et vous ne savez pas comment elles vont changer pour le deuxième passage.
Je me souviens de quand nous sommes allés en Turquie en 2008, près d’Antalya, qu’il faisait très chaud. Les longues étapes ont été très exigeantes et très difficiles pour les pneus. D’après ce que j’ai vu jusqu’à présent, je pense qu’il y aura des similitudes avec ce rallye et le rallye de l’Acropole. Les essais d’avant rallye étaient vraiment bon pour moi. J’étais très content de la voiture et nous avons fait de bons pas avec la suspension. “
“Sur le terrain (??? ) et sinueux promis en Turquie, la Toyota Yaris WRC ne présente …..”
Cassant???
En fait, quand on regarde ses commentaires sur la voiture, on a vraiment l’impression qu’il travaille pour l’équipe, la voiture est bonne, elle est solide, on a amélioré tel point, c’est le metteur au point ultime de Toyota.
Ils n’ont pas besoin de ses points pour être champions constructeur plus que ça vu les 2 autres pilotes.