Triple vainqueur d’étape sur ce Dakar avant la journée de lundi, Sébastien Loeb avait pour objectif de réduire l’écart face à Nasser Al-Attiyah pour entretenir ses chances de victoire finale.
Longue de 323 kilomètres, cette septième spéciale ne s’est finalement pas déroulée comme prévu pour le pilote du team PH-Sport. Ralenti d’entrée de jeu par des problèmes électriques sur la Peugeot 3008 DKR, le nonuple champion du monde a même été contraint de s’arrêter pour trouver et réparer cette panne.
“La voiture s’est arrêtée après trois kilomètres. Elle est repartie, elle a fait cinq bornes et elle s’est arrêtée. Au final, elle s’est arrêtée de plus en plus souvent. On a commencé à regarder ce qui n’allait pas, et on est tombé sur le bon connecteur. Sinon, c’était coupure générale de courant dans la voiture,” a analysé le Français après la ligne d’arrivée.
Repoussé alors à près de 40 minutes, Sébastien Loeb est finalement reparti le couteau entre les dents pour récupérer un maximum de temps perdu. Au final, l’addition est moins salée que prévu avec 28 minutes lâchées et deux positions perdues au classement général, mais les opportunités commencent à se faire rares en cette fin de course.
“A part ça on n’a pas fait d’erreur, on a bien roulé. C’est un peu démotivant, on va voir où on en est, ce qui est encore jouable sur ces derniers jour,” commente-t-il.
Avec 785 kilomètres chronométrés encore à parcourir lors des trois dernières étapes, le pilote de 44 ans compte bien ne rien lâcher jusqu’à l’arrivée où encore bien des rebondissements peuvent chambouler la hiérarchie.
Elena devrait arreter de repeter qu’ils sont inscrit en amateur , alors qu’il pleur a chaques problemes ! Heureusemrnt que les vrais amateurs, ceux qui ont des c…… dans les moments difficiles ,ne sont pas comme lui !
Sans vouloir dénigrer Daniel, je pense que c’est une erreur de l’avoir embarqué pour le Dakar, même si çà partait d’un bon sentiment.
Ou alors ils auraient dû faire le 1er chacun de leur côté, pour apprendre avec un coéquipier expérimenté, et ensuite se retrouver et mettre en commun ce qu’ils avaient appris.