Auteur d’un début de saison inespéré l’an passé avec sa nouvelle équipe, Jari-Matti Latvala est ensuite rentré dans le rang, cumulant les problèmes au volant de sa Toyota Yaris WRC.
Pour sa douzième saison consécutive dans l’élite, le finlandais sera néanmoins de nouveau un candidat sérieux au titre même si la concurrence promet d’être forte, à commencer par celle représentée par son nouveau coéquipier, l’estonien Ott Tänak.
Pour ce rallye Monte-Carlo, le pilote Toyota espère rééditer le résultat de l’an passé (2e) et cela passe par un sans faute pendant quatre jours.
“Nous avons beaucoup appris de la saison dernière pour notre première année avec Toyota. Nous avons pu découvrir sur quels points nous devions nous améliorer et nous sommes désormais prêts pour cette deuxième saison et je pense que nous devrions être très compétitifs.
Nous avons une superbe équipe ; nous avons tous réussi à gagner en 2017 et et quand tout le monde vise des victoires, c’est généralement bon pour l’équipe. Nous avons déjà un bon résultat au Monte-Carlo lors de nos débuts avec la Yaris WRC la saison dernière, avec un deuxième place, ce qui a égalé mon meilleur résulta là-bas. Il était important d’avoir un rallye sans problème, et ce sera encore le cas cette année mais nous voulons aussi avoir un bon rythme.”
Participations de Jari-Matti Latvala au Monte-Carlo
- 2017 : 2e (Toyota Yaris WRC)
- 2016 : Abandon (Volkswagen Polo R WRC)
- 2015 : 2e (Volkswagen Polo R WRC)
- 2014 : 5e (Volkswagen Polo R WRC)
- 2013 : Sortie (Volkswagen Polo R WRC)
- 2012 : Sortie (Ford Fiesta RS WRC)
- 2008 : 12e (Ford Focus RS WRC ’07)
- 2007 : Sortie (Ford Focus RS WRC ’06)
- 2006 : 41e Scratch – 5e PWRC (Subaru Impreza STi N12)
- 2004 : Sortie (Ford Puma S1600)
Il faut de tout pour faire un monde.
Latvala et Meeke ne seront peut être jamais champion du monde mais c’est pour des temperaments comme eux que l’on va au bord des spéciales.
Celà me rappelled en F1 Prost / Tambay / Vs Rosberg (père) .
La difference entre flamboyance et régularité .
Sans dénigrer l’un au profit de l’autre.
Il faut bien des champions du monde pour que les constructeurs continuent.
C’est sûr que JML reste un pilote très rapide, et que cette année il n’a pas été épargné par les soucis; mais d’autre côté, il reste JML; je vois encore la tête de Makkinen quand son pilote n°1 se sort, bêtement, en Angleterre…
Si la voiture est plus fiable, c’est sûr qu’il faudra compter sur lui pour des victoires (déjà en Finlande), mais j’ai des doutes, en espérant me tromper, pour le championnat.