En panne de points depuis la Sardaigne (seulement 23 en 3 rallyes), Sébastien Ogier se retrouve maintenant dans l’obligation de signer un très bon résultat en Turquie.
Et sur un terrain aussi cassant et imprévisible que celui de la Turquie, la tâche du français s’annonce particulièrement rude. L’an passé, le pilote Citroën était très rapide sur ce terrain mais sa monture de l’époque n’avait pas tenu, l’obligeant à une grosse réparation en liaison, de quoi faire réfléchir avant de tout donner cette année.
“Le parcours de l’édition passée était incontestablement le plus cassant que j’ai eu à affronter dans toute ma carrière. Et ceux qui se sont imposés n’étaient clairement pas les plus rapides, aussi il va peut-être falloir adapter un peu l’approche cette année, d’autant que nous n’avons plus le droit à l’erreur au championnat.
Nos essais se sont bien déroulés, sur des bases représentatives des difficultés qui nous attendent, et j’espère désormais que le bon feeling ressenti se confirmera en course.”
Directeur de l’équipe française, Pierre Budar résume parfaitement la situation avant cette épreuve : “La fiabilité jouera un rôle clef dans la performance du week-end, en même temps que la capacité à passer au travers les embuches, à nous de faire en sorte d’être irréprochables, car nous sommes bien déterminés à retrouver le podium et nous battre farouchement pour le championnat.”
Dernière participation en Turquie
- 2018 : 10e (Ford Fiesta RS WRC)
Quel peut être la réelle ambition d’Ogier en cette fin de championnat ? Avec 40 points d’écart à 4 rallyes de la fin, faire de très bon résultats ne suffira pas. Il va falloir compter également sur une énorme défaillance de Tanak… Gagner un des derniers Rallye de la saison sera déjà un super résultat.
pourquoi comparer ce qui a été fais avec la c3 par d’autres pilotes!!!! alors que là ogier et red bull sont chez citroen pour le titre pilote!!! forcement l’auto est moins bonne sur asphalte mais certainement meilleure sur terre