Ogier : “Toujours ravi de relever un défi différent”



Pour cette reprise tant attendue, Sébastien Ogier va avoir l’handicap de découvrir le rallye d’Estonie, contrairement à la très grande majorité de ses adversaires.

Heureusement, le pilote français a eu l’occasion d’arpenter des spéciales voisines de l’épreuve mondiale lors d’un rallye national, événement où il a pu prendre ses marques avec une troisième place à la clé.

“Je suis heureux que nous puissions concourir à nouveau après si longtemps. Le rallye d’Estonie sera nouveau pour beaucoup d’entre nous, mais je suis toujours ravi de relever un défi différent. Ce sera certainement un rallye exigeant avec des routes très rapides. La Yaris WRC vous donne une bonne confiance à ces vitesses et après les tests que nous avons effectués en Finlande et en Estonie, j’ai un bon feeling dans la voiture. Il était également important d’avoir cet événement il y a deux semaines pour nous aider à nous préparer, car après une si longue pause, il n’est pas facile de trouver la limite tout de suite.”

En plus de cette inexpérience forcément pénalisante sur cette épreuve, le pilote Toyota devra ouvrir la route sur la première boucle de la première étape. Le français espère que les conditions climatiques quasiment automnales l’aideront à lutter pour les premières places.

“Nous commencerons d’abord sur la route donc nous espérons que la météo de septembre pourra peut-être nous aider à ne pas avoir trop de désavantages, et l’objectif sera d’essayer de nous battre du mieux que nous pouvons.”




S’abonner
Notification pour
guest
19 Commentaires
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Sylvain
Sylvain
3 années il y a

Un Ogier classique, mesuré et ambitieux, après il faudra voir, c’est une saison très très particulière… chaque détail va compter!

Cette année chaque DNF sera terrible, par contre, le côté calculateur pourrait ne pas payer non plus : si jamais un mec est un peu en réussite… à fond, ça finit toujours par ne pas passer, mais si il ne reste que 2 ou 3 courses, on peut imaginer un pilote à l’attaque qui ne connaisse pas de déconvenue, sur peu de course…

Fab
Fab
3 années il y a

Pour la danse de la pluie, c’est du côte de l’ami belge qu’il faut se renseigner! 😀