En vingt années de compétition, Citroën a rapidement affolé les compteurs, s’imposant finalement comme le constructeur le plus titré en championnat du monde. Au Monte-Carlo dimanche dernier, l’équipe française a atteint le nombre symbolique de 100 victoires en WRC.
Rapidement débarrassé de la menace Rovanperä, Gus Greensmith a été impérial au Monte-Carlo, remportant le WRC-2 Pro mais aussi la classe R5 grâce à une superbe septième place au scratch.
Il fallait avoir le coeur bien accroché pour suivre les résultats de Nicolas Ciamin sur ce Monte-Carlo. Sa course a été une succession de hauts et de bas, entre grosses performances et multiples crevaisons.
Pour sa première participation en WRC, deux ans seulement après ses débuts en rallye, Adrien Fourmaux n’a pas déçu, ramenant sa Ford Fiesta R5 à une superbe dixième place au scratch, la deuxième en WRC-2.
S’il a bien perdu des points face à ses rivaux pour le titre, Ott Tänak n’en a pas moins encore impressionné ce week-end, affichant la même forme qu’en fin de saison dernière.
En enrôlant Sébastien Ogier l’automne dernier, Pierre Budar savait qu’il avait fait un énorme coup, mais il ne s’attendant peut-être pas à sabrer le champagne si tôt.
Habitué à l’ivresse de la victoire, Sébastien Ogier a pourtant affiché un visage rarement aussi expressif et libérateur à l’arrivée finale de ce rallye Monte-Carlo.
Rapidement, il était clair que Sébastien Loeb n’était pas en mesure de jouer la gagne sur ce Monte-Carlo, mais l’alsacien n’a jamais baissé les bras, décrochant finalement une belle quatrième place entre les Toyota de Tänak et Latvala.
