Alors que Jean-Michel Da Cunha continue d’empiler les scratchs, Julien Marty prend l’avantage sur Germain Bonnefis pour la seconde place.
Les premiers kilomètres se font en sous-bois, avec un profil similaire à l’ES 1, une alternance de virages rapides et d’autres plus lents sur un grip toujours convenable. Le départ étant en descente, il faut être “bien réveillé” si l’on veut faire un temps, car il est compliqué d’entamer cette spéciale avec des gommes froides. Une remontée sur un profil toujours similaires nous mène à un changement de direction entre des maisons, changement de direction qui marque le début d’une portion difficile : étroite, rapide, avec quelques ciels, il faut de bonnes notes. Après une épingle gauche, nous parcourons un plateau très rapide avec du goudron noir, une partie pour gros coeurs. Enfin, nous entamons une partie très sinueuse, avec des passages presque typés “Cévennes” qui nous mène jusqu’au village de Sauveterre où se trouve l’arrivée. Personnellement, il n’y a que cette dernière partie très sinueuse que j’ai déjà parcouru en course.
FAITS MARQUANTS
Alors que Jean-Michel Da Cunha continue d’empiler les scratchs, Julien Marty prend l’avantage sur Germain Bonnefis pour la seconde place. Quatrième, Alexandre Bourrel mène toujours le groupe F2000.