Quand Volkswagen a dévoilé sa nouvelle Polo GTi R5 en octobre dernier, il était impensable d’imaginer que la marque allemande ferait face à autant de difficultés avec une situation de crise au rallye du Portugal le week-end dernier.
En introduisant la technologie hybride dès 2022, la FIA souhaite attirer de nouveaux constructeurs en WRC, sans pour autant relever le coût budgétaire ni dénaturer la discipline, un défi de taille alors que de nombreux sports mécaniques peinent justement à trouver cet équilibre essentiel.
Pour ce rallye de Sardaigne, huitième manche du championnat du monde des rallyes, le programme TV est un copier coller de 2018 avec cinq spéciales au programme dont deux le samedi et deux le dimanche.
Engagé en WRC-2 depuis 2016, Pierre-Louis Loubet a concrétisé ses belles performances par une première victoire en championnat du monde, suite à un week-end parfait au Portugal.
Le Portugal a prouvé, si il le fallait encore, que les trois hommes forts du championnat ne feront aucune concession jusqu’au dernier kilomètre du dernier rallye de l’année.
Pour cette conférence de presse d’arrivée, Tommi Mäkinen a laissé les honneurs à Kaj Lindstrom, directeur sportif de l’équipe Toyota depuis fin 2017.
Par trois fois ce week-end, de nombreux concurrents WRC ont été ralentis par de la poussière stagnante, et à chaque fois en début de journée.
Encore une fois, et ce depuis fin mars, Sébastien Ogier s’est arraché pour grimper sur le podium au volant d’une Citroën C3 WRC au potentiel encore douteux.
