Comme à chaque intersaison, la FIA a apporté quelques modifications au règlement sportif du WRC.
Parmi celles-ci, nous avons retenu les principales, qui sont pour la majorité, déjà connues.
- Le kilométrage chronométré maximum d’une épreuve doit être compris entre 300 et 350 km (contre 300 et 500 km auparavant)
- Les voitures WRC P1 repartant en Rally2, s’élanceront avant les autres WRC, contrairement à l’an passé où c’était après
- Chaque pilote de WRC pourra choisir un numéro pour la saison (jusqu’au n°99). Le N°1 sera toutefois réservé à Sébastien Ogier, champion du monde 2018, même si le français ne sera pas obligé de choisir ce numéro.
- Les voitures du WRC2 Pro porteront les numéros de 21 à 40
- Les voitures du WRC2 porteront les numéros de 41 à 70
- Les voitures du JWRC porteront les numéros de 71 à 90
- Les assistances de mi-journée seront de 40 minutes contre 30 auparavant
- Pour les duos Argentine/Chili, puis Portugal/Sardaigne, les WRC utiliseront les mêmes chassis, moteurs et transmissions.
- Les zones d’essais seront restreintes à un diamètre maximal de 10 km.
- En liaison, une voiture doit absolument rouler sur ses 4 roues, sinon elle sera automatiquement mise hors course, contrairement à 2018 où l’équipage écopait de pénalités qui pouvaient aller jusqu’à la disqualification
C’est la révolution ….
Par contre pour les notes de frais des gros de la FIA c’est toujours pris en charge ? OK Ca roule ….
Il y avait plein de possibilité pour l’ordre de départ du premier jour, surtout sur terre. Et toujours rien à l’horizon 2019. Il y a un petit quelques chose pour les jours 2 et 3 mais rien de bien terrible. Et ce sera les pilotes en Rally2 qui n’auront plus aucun intérêt avant la power stage (enfin c’était déjà + ou – le cas). Il y avait pourtant de bonne idée pour remédier à ce balayage : – Qualif au shakedown ( et départ dans l’ordre inverse) – Chacun son tour (Neuville ouvre en Suéde, Ogier Mexique, Tanak Argentine, …)… Lire la suite »