ES5- Salanon se replace (Var)

25 novembre 2017

ES5- Bormes les Mimosas (10.32 km) à partir de 10h43 (Samedi 25 Novembre 2017)

Après un réveil mouvementé avec la sortie de route de Mathieu Arzeno, l’erreur de Sylvain Michel et au final, la neutralisation de la spéciale, les choses devraient logiquement rentrer dans l’ordre.

FAITS MARQUANTS

Quatorzième au soir de la première étape, Gilles Panizzi est contraint d’abandonner ce matin suite à un problème mécanique sur la 208 T16 R5.

Le départ de la spéciale a été donné à 10h43 ! La pluie fait son apparition après le passage des premiers concurrents.

En raison de la neutralisation de la spéciale précédente après Quentin Giordano, il faudra attendre les temps forfaitaires pour avoir le classement général mis à jour.

Malgré ce léger contre-temps, David Salanon en profite pour signer son second meilleur temps depuis le départ. Le pilote ligérien recolle à 5 dixièmes de Sébastien Loeb toujours leader.

Sur la dernière marche du podium, Hugo Margaillan continue d’épater en devançant désormais la Skoda Fabia de Sylvain Michel.

REACTIONS DES PILOTES

Bonato	“C’est hyper glissant, je me suis fait surprendre avec un tête-à-queue.”
Sarrazin	“Les trois quarts de la spéciale, le grip est normal. Le dernier kilomètre est plus glissant. Sur l’auto, tout va bien et on découvre des choses.”
Michel	“Ca a été, la descente est vraiment piégeuse avec beaucoup de passages gras. Avec les pneus froids, j’ai eu du mal à me mettre dedans.”
Loeb	“Celle là, ça allait mieux. Globalement la voiture a bien marché, ce n’était pas trop mal.”
Salanon	“J’ai bien roulé. La descente était très sale, j’ai préféré assurer mais j’aurais pu mieux rouler.”
Margaillan	“Ca a été. On a assuré dans la descente, on ne prend pas de risques. On continue à se régaler.”
Giordano	“Les essuie-glaces m’ont un peu déconcentré. C’est vraiment glissant.”
Rossel	“Ce n’est pas mal, même si je suis parti sur un mauvais rythme. Le temps n’est pas mal.”
Martin	“Ce n’est pas évident de se mettre dedans avec tous ces arrêts de course. C’est vraiment piégeux, on a été prudent sur la fin.”
Astier	“C’est compliqué, il pleut au départ, puis c’est sec et le final est vraiment gras.”
Lions	“On a roulé prudemment, je n’ai pas pris trop de risques.”
Dumas	“Ce n’est pas terrible, je pense que je suis parti trop haut en pression aussi.”
Lopez	“Les conditions délicates ne nous aident pas à faire de bonnes performances.”
Sirot	“C’était difficile de se remettre dans le bain. Avec les pneus froids sous l’averse au départ, c’était compliqué.”
Toedtli	“On a eu une grosse pluie sur les deux premiers kilomètres, puis c’était sec, et sur l’arrivée, c’est gras.”
Roche	“On avait pas forcément les bons pneus, on a fait gaffe.”
Vouilloz	“On a toujours un peu de mal mais ça va. On se remet un peu dans le bain, mais je n’ai pas trop de confiance.”
Mauffrey	“La spéciale est assez compliquée. Avec nos pneus médiums, on s’en sort bien malgré le fait que c’était gras et glissant.”
Wagner	“Ca va, ce n’est pas super mais c’est mieux qu’hier.”
Perrin	“La route est très grasse. Sur la fin dans la descente, c’est sur des oeufs.”
Ciamin	“On était parti avec un choix de pneus pour le sec donc ça a été dur. Le début était quand même plus sec que je pensais.”
Delecour	“Ca va à peu près. C’était dur.”
Rouillard	“Je croyais avoir les bons pneus, mais je n’ai pas pu en tirer le bénéfice.”
De Mévius	“On avait un bon choix de pneus pour l’arrivée. Le rythme est un peu mieux mais on en prend encore.”
Guigou	“Si il n’avait pas plu, ça aurait été mieux. On est parti en intermédiaire.”
Robert	“Très dur. On n’a pas fait de folie donc voilà.”
Franceschi	“Ce n’est pas mal. On fait le même temps qu’hier.”
Jacob	“On est sorti bêtement dans un gauche serré. Les spectateurs nous ont aidé à sortir.”
Bernardi	“Commencer la journée dans ces conditions, ce n’est pas évident. On est parti sur un rythme vraiment très prudent. Je sais que je n’irais pas le chercher.”
Baraccani	“Ca se passe bien. On est devant avec le temps forfaitaire d’hier. On est à la bagarre et c’est bien.”
Dommerdich	“On a un problème.”